Chose promise, chose dû ! Nous allons effectuer une petite analyse de Maria et I’M A B de Hwasa. Je me suis dit qu’il serait intéressant de travailler ces deux MV ensemble car les deux messages conviés se complètent.
Découvrons comment Hwasa réussit à nous captiver à chacun de ses MV. Cette analyse sera effectuée en trois temps en recherchant les différents éléments dont se servent les campagnes de communication pour impliquer leur cible :
- Affectif : Qui concerne les affects, les sentiments.
- Cognitif : Qui concerne l’acquisition des connaissances.
- Conatif : Du latin “conatio” qui signifie “effort”. Adjectif se rapportant à une notion d’effort, de volonté qui pousserait à agir.
Contents
La mise en scène de ses sentiments
Hwasa comme beaucoup d’artistes se sert de ses douleurs pour écrire. Les chansons ont presque une fonction cathartique. Mais pour autant “les chansons tristes ne sont pas obligées d’avoir des mélodies tristes” selon elle. Ce pourquoi, même si certaines scènes peuvent paraitre crue, le ton mélodique employée relève le tout et nous amène à danser.
Ses messages et valeurs
Dans ces deux MV, de nombreux éléments viennent nous faire aimer la musique, Hwasa ou encore le clip lui-même. Ne serait-ce que les valeurs qu’elles diffusent et les messages qu’elles portent à travers ses chansons.
Par exemple, elle défend la liberté des femmes à porter ce qu’elles désirent. Elle le soutient en utilisant un des cas médiatiques qui a pu lui arriver lorsqu’elle ne portait pas de soutien gorge en sortant d’un aéroport :
Dans I’M A B, elle exprime clairement cette opinion à travers les paroles et à travers un regard explicite dans la chorégraphie pour appuyer son propos : “It’s frustrating, I just want to breathe
So I go no-bra”.

Envers ses détracteurs
Hwasa ne perd jamais une occasion de placer une ligne envers ses détracteurs qui sont notamment les journalistes. Cela était d’autant plus marquant avec Maria lorsqu’elle se met en scène en train de nourrir ses invités d’éléments représentant sa musique : « Voici tout de moi, allez-y, festoyez, mais sachez que cela ne m’atteint pas, ou du moins je ne vous le montre pas ».

Et l’on voit qu’elle y met son coeur car au final, parler d’elle en bien ou en mal c’est toujours parler d’elle et lui donner de la visibilité. Et elle essaye clairement de dire haut et fort qu’elle ne leur donnera pas se plaisir de se montrer vulnérable.

La douleur
Et pourtant, c’est bien le sentiment de douleur qui est souvent mit en avant dans les chansons de Hwasa. Elle est représentée comme morte, se perd dans un délire psychotique, est complétement terrorisée à cause d’une horde de crayons pointés en sa direction.



En réalité cette chanson est un message envers elle-même de ne plus se torturer ainsi à cause de la haine qu’elle peut recevoir : “Don’t torture yourself”.
Avec I’M A B, Hwasa transmet un message à ses proches car elle s’en veut d’avoir pu les laisser de côté dû à toutes cette pression et ce travail qu’elle devait fournir :
Through the lyrics, I tried to say sorry to my family and friends in a witty way,
www.nme.com
“I think I missed out on a lot of things in my life as I worked too hard to move forward. In fact, I was hysterical and overly sensitive at times,” the singer confessed. “I also did not take good care of people next to me and I felt guilty about that. Therefore, I wanted to express these feelings with the song.



J’aimerais revenir sur ces trois images qui en mon sens exprime parfaitement le message de Hwasa qu’elle explique déjà dans ces paroles : “To sum it up, I’ve gone mad Yet so far I’m alive You should stay with me by my side”.
Trois images importantes pour comprendre le message

Tout d’abord, Hwasa ressent beaucoup de douleurs et de colères alors qu’elle n’est pas une “bitch” comme ses détracteurs pourrait le dire à cause des tenues qu’elle arbore parfois. A proprement parlé, je ne pense pas que la presse ai pu en arriver là mais ce paroxysme de l’insulte permet de choqué et faire comprendre le fond du problème. Vous remarquerez que sur son t-shirt le mot bitch est barré. Dans les paroles au contraire, Hwasa utilise un mot coréen proche de la prononciation de ce mot qui signifie lumière.

Sur la deuxième image, on peut voir Hwasa essayer de boire mais ne pas y parvenir, aucune eau ne descend à sa bouche. Je pense qu’il s’agit de montrer que les éléments primaires comme la nourriture ou l’eau ne peuvent suffire à combler nos besoins. Car nous désirons tous être aimé. Ainsi Hwasa aura beau boire et boire de l’eau, son désir profond ne pourra jamais être combler sans ses proches qui donne sens à son succès.

La dernière image met en avant la folie qui semble s’être éprise d’elle. En effet, vous remarquerez que dans les grilles, on ne retrouve que les mots “Hwasa” et “Crazy”. Lorsque la presse comme les réseaux sociaux ne font que tourner autour de vous, il y a de quoi en avoir la tête qui tourne et en devenir fou. Mais Hwasa s’en veut de ne pas avoir prit soin de ses amis et de sa famille dans cette période où elle en avait le plus besoin.
Des inspirations cinématographiques
L’artiste n’est pas toujours aussi claire quand aux images qu’elle met au monde car si sa douleur est bel est bien transparente dans les MV, les scènes en elle-même nous donne du fil à retordre pour en trouver les inspirations.
Dans Maria, de nombreuses scènes semblent faire référence à Malèna selon internationalgimbap. Comme par exemple la scène de la cigarette. Malena dans cette scène vient de se couper les cheveux et de se les teindre. Elle se rend à un bar et tout les hommes autour d’elle affluent pour lui offrir le feux dont elle a besoin pour allumer sa cigarette. C’est ce qui se passe également avec Hwasa dans le MV. Une manière de montrer que l’attention que lui porte les hommes est malsaine car porté sur son physique. De la même manière que pour Malena, on montre que même si les gens parlent mal dans notre dos, au fond de leur coeur, ils sont attirés par nous et continuent de nous tourner autour.


Mais aussi la scène avec les ciseaux. Dans le film Malèna, le personnage voit un jour des rumeurs autour d’elle se multiplier au point de devenir aux yeux des autres une prostitué. Elle finit par vouloir être le portrait de ce dont on l’accuse, ce pourquoi elle se teint les cheveux en roux. En effet, cette couleur est associée aux prostituées. Finalement Hwasa met ici en lumière comment le regard des autres l’a poussé à devenir ce qu’ils voyaient en elle : une femme provocante. La morale derrière cette scène est très intense et démontre avec intelligence la violence des propos lancés à son encontre.
Mais aussi Roméo et Juliette selon medium.com.

Des représentations métaphoriques
Au delà des références cinématographiques, Hwasa fait aussi usage de représentation métaphoriques en jouant sur le sens des choses. Par exemple, ici elle se met en avant dans un bain de lait. c’est ici un clin d’oeil au fait qu’en Corée du Sud, la peau claire est signe de beauté et le lait est censé apporter ces bienfaits à la peau. Mais Hwasa ne correspond pas à ce critère de beauté. pour autant, je trouve que le contraste créé entre sa peau et la blancheur du bain la rend d’autant plus jolie et sensuelle.


Il y a aussi une possible référence picturale dans Maria avec le tableau de Magritte. Dans ce tableau, Magritte montre que la haine est une autre face de l’amour et que l’un n’existe pas sans l’autre. Mais aussi et surtout que ces deux sentiments nous rendent aveugles. C’est aussi ce que représente ici Hwasa.


Et dans I’M A B ?
Dans I’M A B, les choses sont moins abruptes et je dirais que le décor suit plus les paroles.



On retrouve par exemple la représentation des zébrures évoqués : “Something that’s meaningless is like a zebra without its stripes”.

Il y cette scène intéressante où des bandes de films recouvrent complètement les murs et le sol. Une manière de représenter métaphoriquement comme son travail et l’art qu’elle produit prend le dessus sur sa vie personnel. Elle étouffe de toute cette médiation.

Et puis cette autre scène où elle semble aspirée par une sorte de moquette rose habillée en tenue de scène. Une autre métaphore peut-être de ce sentiment d’être aspirée par la célébrité, de ne plus pouvoir sortir de son rôle.
Scénographie et colorimétrie efficace
Plus simplement, à travers l’ensemble de la scénographie et de la colorimétrie des MV, on voit bien que Hwasa se met à nu au spectateur. Il y a une forme de simplicité qui permet de mettre en avant la sincérité de son propos. Vous remarquerez le choix des couleurs qui sont souvent très contrastés.




La mise en scène surtout pour les scènes de danse est souvent très épuré.




Ces différents éléments sont bien là pour mettre en avant le fond du message plus que la forme. Il n’y a rien à ajouter, il faut se concentrer sur les paroles et Hwasa elle-même dans sa forme la plus simple et sans artifice possible.
Conclusion
Nous avons vu comment Hwasa met en avant ces sentiments dans les MV parfois de manières très crue et parfois de manière plus subtile en utilisant des métaphores et références culturels. Les références sont intéressantes car elles sont le témoin non seulement de sa culture cinématographique mais aussi le témoignage d’histoires qui ont pu la toucher et la forger en tant que personne. Nous assistons d’une manière à la création d’une forme d’autobiographie à travers sa musique et ses MV.
D’un point de vue plus critique, il est certain que le public aime cette transparence de Hwasa qui raconte ce qu’elle ressent et traverse avec le temps vis à vis de sa célébrité. Car nous savons qu’aujourd’hui il est essentiel de libérer la parole et de sensibiliser le monde à la dangerosité des mots.
Nous avons donc découvert comment ces MV nous offre une certaine image de Hwasa et de ces émotions pour mieux encore nous faire adhérer à la musique. Mais ces Mv participent aussi à leur échelle à faire connaître ou plutôt reconnaitre notre idole en tant qu’artiste.
Se faire reconnaitre en tant qu’artiste
Hwasa est pleinement mise en avant dans les MV et cela participe à sa reconnaissance en tant qu’artiste.

Se bâtir un nom dans l’industrie
Avec la sortie de Maria, Hwasa a voulu se mettre en avant grâce au nom avec lequel elle a été baptisé. Ce choix n’est pas anodin car il est clair que l’artiste souhaite être connu non seulement en tant que membre de Mamamoo mais aussi en tant qu’artiste solo. Ce pourquoi, il était nécessaire de se construire une personna, c’est à dire des codes qui se rapportent à elle seule, en commençant par son nom. Maintenant, il est presque impossible de penser à Hwasa sans penser aussi inconsciemment à Maria.

Vous remarquerez que la chanson Maria était aussi une manière pour l’artiste de représenter sa renaissance en tant qu’artiste après une période assez difficile. Un sujet magnifiquement abordé et par medium.com et internationalgimpab.
Avec I’M A B, Hwasa rajoute une corde à son arc en associant l’acronyme 빛 signifiant la lumière aux termes qui nous font immédiatement penser à elle. Maria ou Hwasa devient alors synonyme de renaissance, d’espoir et de réussite. Après tout, c’est bien elle qui malgré son physique en dehors de certains codes coréens, a réussi à se frayer un chemin dans le monde de la Kpop. Et qui aujourd’hui peut participer à changer, faire évoluer les moeurs.
Cette création de son image passe aussi par des éléments visuelles. Nous l’avons vu plus tôt avec la colorimétrie. Mais aussi avec la typographie qu’elle utilise pour écrire les titres de ces chansons :

Rajoutons à cela ces expressions faciales, ses ongles longs caractéristiques et sa manière de danser. Tout autant de gestes et mimiques qui font parties d’elles et inconsciemment nous font nous rappeler d’elle.
Personna mise en avant dans les plans
Il est important de noter que Hwasa est largement mise en avant à travers les plans. Ceci est accentuée sur les scènes de danse par la simplicité des décors et le travail des lumières. Mais les lignes de l’image pousse notre regard vers elle qui se trouve au centre. Cela est d’autant plus accentue lorsqu’il y a l’utilisation du fish eye ou de zooms avec la caméra.
Par exemple ici les angles de la piscine triangulaire converge en un point où se trouve justement le reflet de Hwasa.

Hwasa se démarque avec un haut différent des autres danseurs mais en plus de cela, un élément rouge en fond met en avant le centre de l’image où elle se trouve.

D’ailleurs Hwasa se trouve aussi au centre du cercle et de l’image.

Dans ces deux images, il y a l’utilisation du miroir pour nous montrer Hwasa d’une manière plus habile ou nous permettre de la voir sous un autre angle.


Introspection / moment clef
Voici un exemple parfait de Fish Eye qui rétrécie ou le décor pour mieux la mettre en avant. Je tiens à noter ici que dans I’M A B, Hwasa effectue une introspection. Elle ouvre une porte pour regarder qui elle est devenue. Parallèlement, elle se représente avec un style proche des années 90. Car il s’agit d’une période qui a marqué un tournant, la fin d’un millénaire. Il s’agit en effet pour l’artiste d’un moment clé pour elle dans sa vie.

Et enfin un dernier exemple avec cette image qui fonctionne comme un dyptique. J’aimerais pouvoir vous fournir une analyse approfondi de cette image. Et peut-être en aurais-je l’occasion un de ces jours mais pour l’heure, j’aimerais simplement évoqué le fait que peut importe où l’on regarde. La profondeur de l’image reflète encore et toujours Hwasa, impossible donc de passer à côté d’elle.

Je pense que d’une certaine manière ces images représentent son introspection. Elle regarde au fond de toutes ces couches, au plus profond d’elle-même. Et cette recherche peut être effrayante. On peut remarquer que les couleurs sont froides et bleutée, signe d’hostilité et de tristesse. Si auparavant elle était en colère contre elle-même, ce qui est exprimé par le rouge. Aujourd’hui elle a retrouvée de l’espoir (exprimée par le vert) en acceptant qui elle est. Par ailleurs, vous remarquerez qu’avant elle ne se regardait pas vraiment dans le miroir alors qu’à droite oui. Elle a dépassé sa colère et en a cherché la cause pour mieux revenir.
Conclusion
A travers des interviews Hwasa a eu l’occasion de mettre en avant son besoin de se bâtir une image propre à elle-même et il apparait évident que ces MV participent à cet aspect. Hwasa est unique et son art l’est aussi. Et le publique sera loin de l’oublier grâce à tout ses signes et codes qu’elle a mit en place.
Comment le MV capte notre attention ?
Pour terminer, ces MV répondent bien évidemment à la fonction conative. Car ils nous invitent à revoir la vidéo encore et encore et à écouter la musique encore et encore par association d’images. En effet, l’homme ne peut s’empêcher de créer du sens et du lien entre les images. De ce fait, lorsque l’on entend une musique de kpop, on ne peut s’empêcher de voir dans notre tête des extraits de MV, de revoir la chorégraphie ou d’autres choses qui nous ont marqués.
Des premières scènes marquantes
A Hwasa marque l’esprit du spectateur dès les premières minutes. Et ces deux premières scènes ont un sens pour comprendre le reste du MV.



Le début de Maria est prenant, d’abord un silence pesant puis des bruits de flash. L’intrigue est posé. Nous, spectateur assistons avec de nombreux questionnements à cette mort à laquelle Hwasa assiste et qui n’est autre qu’elle-même. Il s’agit dans ce MV de montrer comment Hwasa a dû radicalement changé grâce ou à cause de sa célébrité. Une force qu’elle a tiré au plus profond d’elle-même pour se relever et avancer.



Dans I’M A B, on retrouve cette forme de silence pour poser l’intrigue et éveiller la curiosité du spectateur. On peut déjà poser l’hypothèse qu’elle dépeint le fait encore une fois de renaître. En effet, elle passe d’un endroit exigu et sombre à la lumière. C’est une seconde naissance.
Sortir du carcan de la société
Mais c’est aussi une manière de montrer qu’elle s’extirpe des cases bien forgées de la société. En effet, un proverbe coréen dit “u can lead a horse to water but can’t force it to drink meaning she can gives all proof people still don’t believe her and it pained her (María) but now she realised she doesn’t need the horse so she ditches water“.

Elle se libère de ces chaînes et s’approche d’une porte, prête à quitter notre monde pour en découvrir d’autres. Hwasa se lance dans une aventure et d’aller au plus profond d’elle-même pour apprendre à se connaître. On retrouve la métaphore de son fort intérieur et de son inconscient. Elle ouvre une porte dans son esprit.


Cette idée de représenter son fort intérieur est forte car par la suite, on pourrait presque dire qu’elle met en avant les différentes facettes de sa personnalité à travers les tenues et danses de ce MV. On notera en particulier la danse traditionnelle chinoise couplée au Guzheng qui est un moment fort de la chanson. Et qui rajoute un côté unique à la chanson. Et qui lui a permis de séduire d’autant plus le public chinois.
Des fins intrigantes
Les fin des MV ont aussi leur importance car si elles peuvent être interprété en tant que tel, elles prennent sens avec le reste du MV. Pour comprendre le message de l’artiste, il faut donc revoir peut-être le MV. Elle nous invite ainsi à réitérer notre écoute et notre vision des images pour comprendre ce qu’elle veut nous dire.
D’une manière plus générale, le but est bien de nous offrir une expérience encore plus complète. De nous faire aimer le travail visuel fourni par toute l’équipe artistique. Et le pari est ici réussi car les plans sont sublimes et les transitions bien orchestrées.

La fin de Maria est un clin d’oeil à son groupe MAMAMOO. Il lui a permis sans aucun doute à débuter sur la scène en tant que Kpop Idols. Non seulement des partenaires de scènes mais aussi des amis, presque une famille qui a toujours été là pour elle. Cette fin très douce nous fait sourire et nous rappelle toute la beauté de l’amitié et l’importance des proches au quotidien.
Hwasa aurait pu nous faire quitter le MV sur une note triste mais ce n’est pas son intention. Le but est bien de redonner de l’espoir avec cette chanson. Et de nous pousser à avancer malgré les critiques extérieurs car ceux qui comptent réellement sont autours de nous.
Et I’M A B ?

Evidemment, Hwasa ne peut s’empêcher de faire un clin d’oeil à ses fans également. Et cela a lieu dans I’M A B avec cet ongle sur lequel est inscrit “MOOMOO”.

Hwasa semble aimer se représenter comme une tentatrice. Cela était déjà le cas dans Maria avec la réadaptation de Malèna. Ici, elle est représentée comme une forme de nouvelle Eve. Cependant, il n’y a pas un mais plusieurs serpents, tous plus colorés les uns que les autres. Mais nous ne la voyons pas se faire mordre ou croquer une pomme. Elle semble sereine et ne pas se faire contrôler par le susurrement des serpents. C’est une Eve forte et sûr d’elle qui a repris le contrôle sur sa vie.
Peut-être que les serpents ici représente bien plus le susurrement constant des médias et des réseaux sociaux plutôt que le serpent du mythe d’Adam et Eve. Dans ce cas, Hwasa veut montrer que malgré les critiques, elle ne se laissera plus déstabiliser.
Conclusion
Nous avons vu ensemble comment Hwasa réussit à impliquer ses spectateurs grâce à ces MV qui sont remplis de sens et de références. Ces MV sont uniques et répondent toujours à trois objectifs qui sont d’être aimé, reconnu et être revu. Finalement, je vous invite à la revoir par vous-même car je pense que l’on a jamais fini de les découvrir tant il y a de choses à y voir, qu’ils s’agissent des plans en eux-mêmes et de leurs significations, des transitions, des lumières, des couleurs des tenues…

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